glissemag

samedi, janvier 20, 2007

Roulettes de l'extrême au mont Ventoux


Roulettes de l'extrême au mont Ventoux
Vidéo envoyée par AigleNoirSurLeNet
Un de mes montages vidéos sur une session sauvage de descentes à roulettes, avec des images de longskate (Nico B.) et de buttboard (Nico F.) tournées au mont Ventoux en 2003

mardi, janvier 16, 2007

Fingerboard alexis milant


Fingerboard alexis milant
Vidéo envoyée par gameart
Le fingerboard vous connaissez? non? et bien mattez cette video,ormis le super niveau de mister milant,la video est absolument magnifique!

dimanche, janvier 14, 2007

Descente vtt

Une descente en VTT

Super descente en vtt dans un super parc,chapeau bas à ceux qui ont fait ca!!

merci acz pour l info ;=)

Michèle Alliot-Marie: la non candidature,la france a eu chaud!


Incroyable, Michelle Alliot-Marie ne se présente pas aux présidentielle !!!!!
La France est encore sous le choc ! Pas à cause de al non candidature, mais surtout du fait que certains y ont cru !C est bien là le drame !Elle la première, y croyait elle vraiment ?Avec quel soutient (au singulier) ?La chiraquie est en train de quitter le navire,en se faisant nommer à des postes ici et là mais surtout ici dans le groupe Pinault,d’autres flibustiers se rallie au politicien de petite taille espérant un recyclage de leur fonction âpres 2007.Croyait elle vraiment pouvoir etre candidate avec les finances de son groupe de pensé « le chêne » qui n est rien d’autre qu un terreau de glands.
Déjà que l ump est à la rue niveau financier, plus personne a les moyens de faire une quête , ca se trouve Bernadette va se faire braquer son opération pièces jaunes !A ce sujet, vu la santé financière de la France peut être vaudrait il mieux ne pas faire d opération pièce jaune sachant qu elle coute plus chère qu elle ne rapporte….
Officiellement la mère Michelle voulait éviter la division de son parti, qu’elle noble pensée, mais la division par zéro n existe pas et c est pas avec son 1% au grand max qu elle aurait fait du mal au français d’origine hongrois.

samedi, janvier 13, 2007

Glissemag.com magazine des sports de glisse


Une nouveau magazine des sports de glisse et outdoor viens de naitre, www.glissemag.comCe magazine est ouvert à tout le monde, tous les sports, si vous desirez jouer au journaliste,pas de soucis,contactez la redaction avec un petit mail expliquant ce que vous souhaiteriez faire.Lisez bien la page d'acceuil pour comprendre comment naviguer dans le mag,prenez vous un bon verre,posez vous et bouquinez tranquile!faites tourner!!!

mercredi, janvier 10, 2007

L’inquiétante “rupture tranquille” de Monsieur Sarkozy

Introduction par Eric Besson




L’inquiétante rupture tranquille de Monsieur Sarkozy.




La France est elle prête à voter en 2007 pour un néo-conservateur
américain à passeport français ? Les partisans du candidat de l’UMP
jugeront la question provocatrice et y verront, à l’approche, de
l’élection présidentielle, une caricature injuste, exacerbée par
l’approche de l’élection présidentielle.


Alors, convenons-en d’emblée. Nicolas Sarkozy sera, pour la gauche, un
adversaire redoutable même si son palmarès électoral est bien moins
riche qu’on ne l’imagine.


L’homme ne manque ni d’idées, ni de force de conviction, ni de capacité
de séduction. Son énergie, son culot, son aplomb, son ambition, sa soif
inextinguible de reconnaissance sociale et de pouvoir, sa résistance à
l’adversité sont légendaires.


Son supposé « parler vrai » (parfois son parler crû mais lorsque
Sarkozy est grossier, il dit parler comme les Français), son sens de la
formule, son insolence étonnamment juvénile en font un « bon client »
pour les média audiovisuels.


Avec Nicolas Sarkozy, ils capteront toujours un mot, une image, un clin
d’œil, une provocation pour le sacro-saint « 20 heures ».


Orfèvre en communication méthodique et parfois impudique, l’homme a, de
plus, su draper son implacable et froide quête du pouvoir dans une toge
glamour (Nicolas-la-star-amie-des-stars y compris de celles dont
l’exemplarité est discutable) sans laquelle il ne saurait –nous dit-on-
y avoir de « saga politique » digne de ce nom.


Ce « sarko-show » est une arme de dissimulation massive, car celui qui
ne cesse de prétendre vouloir « être jugé sur ses résultats » n’a pas
son pareil pour masquer les piètres bilans de son action. Ceux d’un
médiocre ministre de l’économie et des finances ou ceux d’un ministre
de l’Intérieur survolté mais peu efficace : les violences faites aux
personnes n’auront cessé d’augmenter en dépit de ses communiqués
triomphants.


Mais l’échec n’atteint que rarement notre héros. Le plus souvent parce
qu’il le noie dans le mouvement perpétuel : chaque fois qu’il se trouve
en difficulté ou se voit obligé de se justifier de son action, le
candidat de l’UMP se saisit d’un fait divers pour enfiler la
combinaison qu’un Le Pen laisse parfois au vestiaire de « celui qui dit
tout haut ce que les Français pensent tout bas ». Un jugement à
l’emporte-pièce, une provocation suivie d’une polémique, le tout conclu
par un sondage qui démontrerait que Sarkozy a les élites contre lui
mais le peuple avec lui et le tour est généralement joué.


En cas de nécessité, si provocation et écran de fumée ne suffisent pas,
Nicolas Sarkozy actionne le parachute de secours, celui de la défausse.
Car celui qui se décrit comme un pieux catholique n’aime rien tant que
battre sa coulpe sur la poitrine des autres : il n’est, par essence,
jamais responsable. Ses erreurs, ses échecs ? C’est toujours la faute
des autres. Non à Voltaire, rarement cité, mais à Chirac, à Raffarin, à
Villepin etc, cibles sarkozyennes dont on se gardera cependant ici de
prendre la défense véhémente. Ou en dernier ressort la faute aux juges.
Glissements progressifs du volontarisme du Ministre de l’Intérieur. En
2002, il suffisait de lui donner les rênes de la police et de le
laisser libre de mettre en œuvre une répression salutaire pour que
l’insécurité soit enrayée. En 2006, le Ministre de l’Intérieur confesse
son impuissance : son action remarquable est entravée par le laxisme
des juges. Une seule conclusion s’impose : la vraie vie, celle de
Nicolas Sarkozy bien sûr, mais aussi celle de la France, ne commencera
qu’après son accession à l’Elysée. Ce document a le grand défaut de
s’intéresser encore à la « France d’avant », celle où Nicolas Sarkozy
peut encore être jugé sur ses actes et sur ses intentions déclarées,
alors que lui ne se consacre plus qu’à la « France d’après », celle
d’après le sacre selon lui annoncé.


Concurrent redoutable, donc, mais aussi respectable, citant ses sources
d’inspiration, assumant jusqu’à l’automne 2006 tout à la fois son
ambition et sa volonté de « rupture » avec un modèle français supposé
exsangue, qu’il n’a cessé de caricaturer pour mieux le vilipender.


Le fait qu’au moment d’entrer en campagne électorale, lucide quant aux
craintes que son tempérament et son improbable oxymore de « rupture
tranquille » fait naître, Monsieur Sarkozy ait choisi de brouiller les
pistes et de s’adresser à la « France qui souffre » ne doit pas faire
illusion. L’infléchissement des discours indique seulement qu’après
avoir été, avec l’appui (qui l’eût dit !) de François Fillon le
fossoyeur du gaullisme social, le candidat de l’UMP s’est attaché
provisoirement la plume –au demeurant talentueuse- d’un Henri Guaino
que l’on avait déjà connu ardant dénonciateur de la « fracture sociale
» en 1995. Le vernis ne tiendra pas. Car l’homme qui se dit pragmatique
est d’abord un idéologue.


Respecter Nicolas Sarkozy, c’est se frotter à ses mots, à ses concepts,
à leurs racines. L’homme n’est avare ni de discours, ni d’écrits.
L’explorateur devra d’abord débroussailler l’accessoire : une
littérature abondante consacrée au culte de soi, caractéristique d’un
ego largement plus dilaté que la moyenne déjà élevée de ceux des hommes
politiques ; il ne se laissera pas davantage abuser par ses revirements
tactiques : le « pragmatisme sarkozyen » se nourrit de revirements
spectaculaires comme en témoigne son reniement dans le dossier de la
fusion Suez-GDF : après avoir s’être très solennellement engagé à ce
que l’Etat ne privatise jamais GDF, le prétendant de la droite à
l’Elysée n’aura pas attendu deux ans pour se révéler parjure !


Il nous faudra donc prendre Nicolas Sarkozy aux mots, aux idées, sans
jamais nous livrer à des attaques personnelles –ce document n’en
contient pas- et nous écartant des caricatures réductrices : «
Sarko-facho » est un slogan à la fois stupide et contre-productif, car
s’il est un danger pour une certaine conception de la République
française laïque et sociale, Sarkozy n’est pas un danger pour la
démocratie française en dépit d’une relation aussi « amicale »
qu’intéressée et exigeante avec les propriétaires des grands médias
français et d’une conception très particulière de la fonction
ministérielle : Sarkozy n’a-t-il pas justifié auprès de ses proches au
printemps 2004 son retour au Ministère de l’Intérieur par souci de se
protéger des attaques … de sa propre famille politique en vue de sa
future campagne présidentielle ?


Disons le clairement : le procès objectif que l’on peut instruire
contre l’idéologue engagé en politique qu’est Nicolas Sarkozy est
suffisamment lourd et digne de débats passionnés pour qu’il ne soit
besoin de l’affubler –et l’affaiblir- de fantasmes ou de procès
d’intention.


Ce que cet ouvrage cherche à démontrer est que non seulement, ne lui en
déplaise, Nicolas Sarkozy est bien « libéral, atlantiste et
communautariste » mais qu’il est devenu une sorte de filiale française
de la Bush Cie, un néo-conservateur américain à passeport français.


Libéral, il l’est assurément depuis toujours et profondément. Mais
contrairement à la légende qu’il entretient le candidat ne l’assume pas
franchement et préfère se retrancher derrière des mythes.


Plutôt que de dire explicitement qu’il souhaite revenir sur la durée
légale du travail et remettre en cause le droit du travail, Nicolas
Sarkozy préférera affirmer qu’il souhaite, par exemple, que « celui qui
veut travailler plus et gagner plus puisse le faire ». Ce qui, pris au
pied de la lettre signifie que ce ne serait plus le chef d’entreprise
mais le salarié qui fixerait son temps de travail ou que tout salarié à
temps partiel serait en droit d’exiger de travailler à plein temps !
Sarkozy-le-libéral sait que la France ne l’est pas. Ou plus exactement
il a tiré de l’expérience de la campagne présidentielle de Balladur en
1995 la conviction que le libéralisme pur ne pourrait jamais concerner
plus d’une dizaine de pourcents d’électeurs.


Le libéralisme de Sarkozy s’est donc mué en libéralisme « populaire ».
A Georges W. Bush, Nicolas Sarkozy ne s’est pas contenté d’emprunter
les slogans ou la mise en scène (ah, cette intronisation du président
de l’UMP avec un décor calqué sur celui de la campagne de


Bush …). Il lui a pris la méthode : « parler des problèmes des gens »,
à défaut d’avoir la moindre idée de la façon de les résoudre. Se servir
des mots pour prétendre panser les maux. Décrire ce que l’on est
incapable de guérir. Diagnostic claironné …, inefficacité à moitié
pardonnée. Ainsi, en 2003, l’éphémère Ministre de l’Economie et des
Finances se targue t-il de prendre en charge la « menace des
délocalisations » et de répondre à l’angoisse -réelle- des Français. Un
plan de « relocalisations » est annoncé en grande pompe, il n’aura
aucun effet, l’emploi industriel restera le grand perdant de la
législature mais peu lui chaut : Nicolas Sarkozy estime qu’il a «
préempté le débat » et que les Français savent désormais qu’avec lui
les délocalisations trouveront à qui parler …


A « W », le très libéral Nicolas Sarkozy aura aussi emprunté
l’obsession de la fin de l’impôt progressif. L’emballage paraît
toujours frappé au coin du bon sens : « éviter la fuite des capitaux »
pour démanteler l’impôt de solidarité sur la fortune dont la
suppression est pourtant étrangement absente du programme de l’UMP, «
permettre à ceux qui travaillent d’en tirer les fruits » pour porter
une réduction de l’impôt sur le revenu qui n’aura pleinement profité
qu’aux 10 % des Français les plus aisés, accéder au vœu des Français de
« transmettre leur patrimoine à leurs enfants à la fin d’une vie de
labeur » pour mettre en œuvre la réforme de la taxation des donations
et successions la plus inégalitaire jamais conçue !


Le libéralisme de Nicolas Sarkozy n’est ni la facette la plus originale
-tous les libéraux du monde tiennent son discours- ni la plus
inquiétante : on plaidera volontiers qu’une démocratie moderne a besoin
de deux pôles, libéral-conservateur d’un côté, réformiste-progressiste
de l’autre et que Nicolas Sarkozy, en dépit de ses faux-semblants
partiels a le mérite de redessiner une ligne de clivage claire entre la
droite et la gauche sur le plan économique et social.


Son atlantisme forcené, sa très grande complaisance pour ne pas dire sa
fascination à l’égard de la politique extérieure de Georges Bush sont
autrement plus graves.


N’acceptons pas l’écran de fumée que dresse « Sarkozy l’américain »,
formule qu’il revendique et dont il s’est dit « fier » lors de deux
voyages aux Etats-Unis, en 2004 et en 2006.


Sarkozy se veut « l’ami des américains ». Pourquoi pas ? Qui se
voudrait « l’ennemi des américains » ? Qui n’éprouve de la
reconnaissance pour l’engagement qui fut le leur pour nous délivrer du
joug nazi ? Qui refuse de lutter contre le terrorisme ? Qui n’est pas
orphelin des Twin Towers ? Qui échappe à la dialectique attirance-rejet
que suscite en chacun de nous un « American way of life » dont nous
avons appris à connaître la grandeur autant que les servitudes ?


Mais ce qui pose problème, et qui doit faire débat en cette année 2007,
c’est l’allégeance aveugle à une politique dite de lutte contre le
terrorisme absurde et inefficace dont la guerre en Irak est la plus
sanglante illustration.


On verra plus loin que dès 2004 les silences de Sarkozy sur
l’intervention américaine en Irak autant que ses déclarations d’amour
aussi naïves que déplacées envers « la musique et les films américains
» avaient semé de trouble.


Mais ce n’était rien au regard de l’extravagant voyage du Ministre de
l’Intérieur en septembre 2006. Le spectacle d’un candidat à la
présidentielle supposé issu de la famille gaulliste quémander un
rendez-vous dans un bureau attenant à celui du Président des
Etats-Unis, dans l’espoir finalement exaucé, de rencontrer quelques
minutes le grand homme, lui arracher une photo immortalisant l’instant
et l’exhiber comme un trophée est un spectacle pénible pour tout
Français nourri au lait de la « grandeur de la France » et de son «
message universel ». Mais entendre un candidat majeur à la Présidence
de la République critiquer aux Etats-Unis la politique étrangère -en
l’espèce justifiée- et « l’arrogance » de son pays est proprement
insupportable.


Tous les journalistes américains ont alors souligné la tonalité
étonnamment farouchement « pro-américaine » et « pro-Bush » des propos
de Monsieur Sarkozy, certains faisant remarquer non sans malice que le
Ministre de l’Intérieur français s’était révélé plus ardent défenseur
de la politique de Bush que beaucoup de parlementaires républicains
eux-mêmes, troublés par les échecs à répétition des initiatives de leur
dirigeant sur la scène extérieure, échecs qu’après une sévère défaite
électorale Bush lui-même devra reconnaître fin 2006.


Dans une dépêche du 13 septembre 2006, l’AFP rapporte que selon un
expert de la Brookings Institution cité par le Washington Post, «
Sarkozy a eu le genre de rhétorique que l’on aurait attendu d’un
responsable de l’administration Bush » !


Quant au Canard Enchaîné du 20 septembre 2006, il prête à Jacques
Chirac -exceptionnellement cité ici- les propos suivants « Sarkozy a
multiplié les maladresses aux Etats-Unis. Il s’est totalement aligné
sur la politique américaine et sur Bush ( …) Bien loin du gaullisme et
même des grandes traditions politiques et diplomatiques françaises ».


Libéral, atlantiste … et, toujours plus grave, communautariste.


C’est une évidence. Nicolas Sarkozy ne croit pas au « modèle
républicain » d’intégration. De ses lacunes ou de ses échecs
–malheureusement incontestables- il veut profiter pour non pas réformer
ce « modèle », pour le rendre plus efficace, mais pour le démanteler.
On verra plus loin, citations précises à l’appui, en dépit de ses
dénégations récentes que le modèle que le patron de l’UMP a en tête est
communautariste et confessionnel.


De ce point de vue le bilan du « ministre en charge des cultes » est
lourd de menaces pour l’avenir : non content de mettre à mal la loi de
1905 et les fondements de la « laïcité à la française », Nicolas
Sarkozy aura pactisé avec les islamistes de l’UOIF, favorisé
l’ascension médiatique de Tarik Ramadan, fait preuve d’une étrange
bienveillance à l’égard des sectes allant jusqu’à recevoir en grande
pompe l’un des prosélytes le plus célèbre de l’église de Scientologie,
l’acteur Tom Cruise.


Coupables écarts ! Erreurs isolées ? Non. Nicolas Sarkozy ne se
contente pas de se livrer à un cynique marketing confessionnel à visée
électorale. Comme Georges Bush, son action est théorisée : il compte
sur les religions, toutes les religions y compris « fondamentalistes »
et souvent « intégristes » pour réguler la vie en société, encadrer les
jeunes et ramener l’ordre dans les quartiers.


On verra donc, tout au long des chapitres qui suivent où est la vraie source d’inspiration du candidat Sarkozy.


Elle n’est pas, ce serait respectable, authentiquement libérale (le
libéralisme de Sarkozy empreinte à Hayek ou Friedman, pas à Tocqueville
ou Aron). Elle enterre le gaullisme autant que l’héritage laïque et
républicain.


La vraie Bible de Nicolas Sarkozy réside dans la pensée néo-conservatrice américaine.


Son vrai modèle ? Georges W Bush.


Plusieurs journalistes français ayant accompagné le Ministre de
l’Intérieur aux Etats-Unis en septembre 2006, ont raconté l’anecdote
suivante. On demande à Nicolas Sarkozy en quoi il se différencie de
Georges Bush. La réponse fuse, mélange d’humour à l’américaine, de
fausse modestie et de provocation : « il a été élu deux fois Président.
Moi pas ».


Il s’agit certes, d’une boutade. Révélatrice, cependant. Spontanément,
Nicolas Sarkozy ne voit rien qui le distingue de Georges Bush. Sauf que
l’un a gagné deux fois une élection présidentielle. Et l’autre pas. Pas
encore ? Nous voilà prévenus …




Eric Besson



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